Évènements Fraîchement Actualisés

Nouvelle-Calédonie : nouvelle nuit d’angoisse pour les habitants

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L’entrée en vigueur de l’état d’urgence en Nouvelle-Calédonie a été fixée à 20 heures, heure de Paris mercredi. Après deux nuits d’émeute dans l’archipel, le bilan humain est très lourd et les dégâts matériels sont considérables.

JO 2024 : trois axes majeurs de Paris fermés à la circulation dès vendredi jusqu’à la fin des Jeux

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Pour installer les infrastructures qui serviront à la compétition, de premières fermetures d’accès seront mises en place à compter du vendredi 17 mai. La station Concorde de la ligne 12 ne sera également plus desservie.

Dès ce vendredi 17 mai, les Parisiens vont commencer à voir leur circulation perturbée par les jeux Olympiques, qui se dérouleront dans la capitale à partir du 24 juillet. Sept sites temporaires doivent voir le jour au cœur de Paris à l’occasion de la compétition.

Pour accueillir les festivités, c’est la place de l’Hôtel de Ville qui a été choisie. Concernant les lieux destinés aux épreuves, il s’agit de la tour Eiffel, de l’esplanade des Invalides, du pont Alexandre-III, du Trocadéro et de la place de la Concorde.

Métro : la station Concorde inaccessible sur la ligne 12

C’est justement la station de métro Concorde qui va être la première perturbée à partir du vendredi 17 mai. Plus précisément les quais du métro 12, devenant inaccessibles jusqu’au 21 septembre, selon le site anticiperlesjeux.gouv.fr. La place fait l’objet d’un chantier qui doit permettre d’accueillir les épreuves de BMX, freestyle, skateboard, breaking et basket 3×3.

Les usagers de la ligne 12 habitués à descendre à cette station devront désormais le faire à Madeleine et poursuivre à pied. Ou emprunter les lignes 1 et 8, qui continuent de marquer l’arrêt à Concorde, avant que la station ne soit complètement fermée à partir du 17 juin prochain. En outre, l’axe nord-sud sera, lui aussi, inaccessible en voiture dès vendredi. Sa réouverture est partiellement prévue le 7 septembre.

Des axes interdits à la circulation

Outre l’axe nord-sud de la place de la Concorde (VIIIe), deux autres voies de circulation seront interdites à la circulation dès vendredi : le pont Alexandre III (VIIIe) et l’avenue Gallieni (VIIe). Les précisions sont à retrouver sur les mairies du 7e arrondissement et le 8e arrondissement.

Le Pont Alexandre III doit accueillir les épreuves de Triathlon, de paratriathlon et de natation marathon, ainsi que l’épreuve de cyclisme. Seuls les piétons pourront continuer de traverser le pont. La réouverture de cet axe est prévue pour le 20 septembre 2024.

L’esplanade des Invalides se prépare, elle, à accueillir les épreuves de tir à l’arc, de para tir à l’arc et de cyclisme. Elle sera également le point d’arrivée du marathon des jeux Olympiques. À proximité, ce sera l’avenue Gallieni qui ne verra plus passer les voitures à partir de ce vendredi. La réouverture de l’avenue devrait avoir lieu le 25 septembre.

(source: lefigaro.fr)

ÉNERGIE – L’État apure le passif de la Jirama

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À chaque élaboration du texte budgétaire, le cas des dettes de la Jirama est un casse-tête pour l’Exécutif.

En tournée à Antsirabe hier, le président Andry Rajoelina a annoncé l’apurement de la dette de la Jirama. Il a révélé que le dernier conseil des ministres a validé la coupe budgétaire au niveau des ministères pour pouvoir payer le passif de l’entreprise, s’élevant à 1 036 milliards d’ariary.

Malade, un mot utilisé par Andry Rajoelina, président de la République, hier, pour qualifier l’état dans lequel se trouve la société nationale d’eau et d’électricité. Une situation connue de tous, mais que le locataire d’Iavoloha a répété à plusieurs reprises, hier, avec dépit. Un dépit causé par une décision du conseil des ministres d’apurer une partie du lourd passif de la Jirama.

À chaque prise de parole au sujet de l’énergie, le chef de l’État rappelle systématiquement la situation déplorable de la Jirama et ses conséquences sur le quotidien des usagers. C’était encore le cas hier, lors de la visite de la centrale agro-photovoltaïque de Sun Farming Madagascar, située dans le Fokontany de Tsaratanàna, dans la commune rurale de Vinaninkarena, dans le district d’Antsirabe II.

«La société est malade», a réitéré à plusieurs reprises le président de la République. Au milieu de son discours, il a révélé la cause de son désappointement. “C’est triste, mais il faut dire la vérité à la population. Lors du dernier conseil des ministres, nous avons dû amputer les budgets d’investissement des ministères au profit de la Jirama. Il fallait donner 1 036 milliards d’ariary à la Jirama, sans quoi, on se serait confronté à de fortes coupures d’électricité», explique-t-il. Lire la suite »

Tournée présidentielle : « La loi n’est pas respectée », dénonce l’opposition

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La tournée présidentielle fait face à de vives critiques.

Une semaine après l’ouverture officielle de la campagne électorale pour les législatives, le président Andry Rajoelina a commencé sa tournée. Les réactions s’enchaînent, surtout dans le camp de l’opposition.

« Qu’on le veuille ou non, cette tournée aura des influences sur le choix des électeurs  aux élections législatives ». Des vives réactions ont suivi la publication de l’agenda présidentiel pour les onze jours précédant le jour du scrutin du 29 mai. Dans le camp de l’opposition, on dénonce une simple stratégie électorale pour faire élire des candidats IRMA (Isika Rehetra Miaraka amin’i Andry Rajoelina) en difficulté. « Comme par hasard, la tournée présidentielle prend fin le 27 mai, dernier jour de la campagne », avance-t-on. Me Hanitra Razafimanantsoa, candidat Firaisankina dans le premier arrondissement de la capitale a même indiqué, hier, durant le Talk Show Miara-Manonja, qu’ « il s’agit tout simplement d’une campagne afin de donner un coup de pouce aux candidats du pouvoir »

Avertissements

« Toute inauguration officielle est interdite pendant la durée de la campagne électorale », précise la loi organique 2018-08, relative au régime général des élections et des référendums, dans son article 61, alinéa 1. Une disposition qui n’est pas respectée par le président en personne, a soutenu Hanitra Razafimanantsoa qui a souligné que « à travers ses actions, Andry Rajoelina prouve qu’il n’est pas le président de tous les Malgaches mais celui de son parti et de ses partisans ». En fait, le même article indique, dans son alinéa 2, qu’ « aucune annonce majeure liée à, ou visant à créer une perception favorable envers un parti politique, un candidat ou une liste de candidats ne doit être faite par l’Administration de l’Etat ou des collectivités territoriales décentralisées pendant la période de la campagne électorale ». Face à cette situation, l’opposition interpelle, pour la énième fois, la CENI et la HCC. Florent Rakotoarisoa, président de la HCC, a d’ailleurs déjà soutenu qu’ « il n’y aura aucune tolérance envers ceux qui ne respectent pas la loi ».  Reste à savoir si ces avertissements sont seulement pour l’opposition.

Infrastructures

En tout cas, comme l’a déjà rappelé la Haute cour constitutionnelle (HCC) dans un communiqué du 8 mai, « toute inauguration officielle est interdite pendant la durée de la campagne électorale », les équipes du président Rajoelina évitent de parler d’inauguration dans leur communication autour de l’événement. Elles avancent surtout des  “descentes sur terrain” pour «  offrir les infrastructures qui viennent d’être construites et pour réaliser la vision de l’Etat dans l’amélioration de la situation sociale des populations ». Ainsi, des kits solaires, des CSBII, et d’autres infrastructures seront offerts à la population. À Fianarantsoa, des artistes étaient même présents afin d’attirer plus de monde.

Confiance
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Réforme de la Constitution en Nouvelle-Calédonie : l’île s’embrase, l’état d’urgence déclaré

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La situation est explosive en Nouvelle-Calédonie, où les indépendantistes protestent contre une réforme de la Constitution visant à élargir le corps électoral. Le gouvernement marche sur un fil, entre volonté de restaurer l’ordre et celle d’apaiser les tensions. Alors que les appels aux calme se multiplient, le gouvernement a décrété l’état d’urgence.

Message de la Conférence épiscopale de Madagascar [CEM]- Mai 2024

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Message de la CEM – Mai 2024

« LA LUMIERE A POUR FRUIT TOUT CE QUI EST BONTE, JUSTICE ET VERITE » (Eph 5, 9)

La paix que Jésus ressuscité a donnée à ses disciples, c’est ce que nous, vos évêques, vous apportons, pour vous saluer dans ce message. Nous ne nous lassons pas de vous encourager et de prier pour la vie des Malgaches que Dieu a rassemblés en une grande famille cheminant ensemble dans ce pays bien-aimé.

C’est en ces termes que les Evêques de Madagascar a introduit leur message pour tous leurs compatriotes.

Ce message est divisé en 5 grandes lignes, à savoir :

– La Joie et l’espérance

– Les ombres dans la vie de la nation

– Les grandes causes qui se dégagent

– Les droits et la dignité humains

– Voter en toute liberté

Le tout résumé en ces mots :

Il faut mettre l’accent sur l’éducation et la formation, depuis le cercle familial jusqu’aux divers échelons de responsabilités. Nous continuons d’attirer l’attention en examinant de plus près l’éducation et l’enseignement. Les programmes scolaires, les acteurs de l’éducation et les infrastructures répondent-ils à ce questionnement ?

Pour conclure, nous ne pouvons que remercier et encourager les personnes de bonne volonté qui accomplissent sincèrement leur devoir, même s’ils en souffrent durement. Nous prions pour chaque famille, pour notre patrie et pour le monde qui a soif de paix et de miséricorde.

La célébration de la descente de l’Esprit Saint sur les Apôtres à la Pentecôte puisse-t-elle continuer à nous fortifier et à répandre sur nous les bénédictions de Dieu, grâce aux prières de la Vierge Marie, Reine de Madagascar, de Saint Joseph, des Saints et Bienheureux de notre pays.

DÉCLARATION – Les évêques condamnent la corruption

La Conférence des évêques de Madagascar a une nouvelle fois été claire dans sa synthèse de la situation nationale.

Pour la énième fois, la Conférence des évêques de Madagascar dénonce la corruption qui gangrène la société malgache, un fléau qui est l’une des principales causes de l’appauvrissement de la population et du pays, affirment les prélats.

La source de tous les maux. La corruption est une nouvelle fois mise à l’index dans une déclaration de la Conférence des évêques de Madagascar (CEM). Dans son message de l’Ascension, publié hier, la Conférence épiscopale affirme : «Nous ne cesserons d’affirmer que la corruption est l’une des principales causes de la paupérisation à Madagascar».

Dans cette déclaration déclinée en treize points, la CEM souligne que la corruption est une cause profonde du marasme dans lequel sombre la nation. Les évêques déplorent que ce fléau prenne de plus en plus d’ampleur dans le pays, affirmant que tous les niveaux de gouvernance, de la base jusqu’au plus haut échelon, en sont gangrenés. La Conférence épiscopale ajoute que la corruption et l’oppression touchent presque tous les domaines de la vie, même au sein de l’Église.

Après avoir dressé un sombre constat de la situation de la corruption à Madagascar, les évêques s’interrogent alors sur le fait que “tous les systèmes anti-corruption ont été mis en place. Mais à qui s’adressent-ils ?”.

Crise de confiance

Depuis la mise en œuvre de la stratégie actuelle de lutte contre la corruption, la Grande île s’est arrogé une armada d’entités de répression de ce fléau et des délits qui lui sont connexes.

Pour renforcer la répression de la lutte contre la corruption, les Pôles anti-corruption (PAC) et l’Agence de recouvrement des avoirs illicites (Arai) ont été érigés en renfort au Bureau indépendant anti-corruption (Bianco) et au Service de renseignement financier (Samifin). Toutefois, le sentiment d’un enracinement de la corruption dans le quotidien de la société malgache persiste. À cela s’ajoute celui de l’impunité, surtout des élites et des dépositaires de pouvoir ou de mandat public.

À un certain niveau, l’enchevêtrement entre la répression de la corruption et la politique affaiblit la crédibilité du système de lutte contre ce mal. Même les évêques, dans la déclaration publiée hier, se prennent à dire que la répression tend à se retourner contre ceux qui osent dénoncer la corruption. “Ceux qui veulent la rejeter et s’y opposer sont soumis à des pressions, des intimidations, encourent des arrestations ou des persécutions”, avance la Conférence épiscopale.

Madagascar s’engage actuellement dans un processus d’élaboration d’une nouvelle stratégie de lutte contre la corruption. La lutte contre l’impunité à tous les niveaux et plus d’efficience des entités de répression est un des enjeux de cette nouvelle stratégie. Il y a aussi le fait de rétablir une certaine crédibilité des entités anti-corruption, mais aussi, de briser la crise de confiance vis-à-vis de l’opinion publique.

Non à la castration et à la contraception

Dans sa déclaration publiée hier, la Conférence épiscopale “clarifie” également sa position par rapport au débat sur la castration chirurgicale des violeurs et la politique étatique de planning familial. La CEM affirme ainsi que l’Église catholique est contre ces deux initiatives. Elle affirme que la castration “est contraire au principe de la dignité humaine”. Pour la CEM, il s’agit d’une “torture”, et est contraire à la déclaration des droits de l’homme et aux lois nationales.

La Haute Cour Constitutionnelle (HCC) a cependant déclaré la loi sur la castration “conforme à la Constitution”. La Cour a aussi recommandé la castration chirurgicale en arguant que cette pratique ne va pas à l’encontre des textes internationaux sur le respect des droits et de la dignité humaine. Concernant le planning familial, la CEM soutient qu’il est contraire au libre arbitre du couple et aux enseignements de l’Église.

Dans une interview publiée dans le magazine Paris Match, la semaine dernière, Andry Rajoelina, président de la République, reconnaît que la question du planning familial est “compliquée dans un pays catholique (…). Je suis catholique et j’ai la foi. Cette foi me porte dans mon parcours, mais quand j’ai décidé de multiplier les investissements dans les plannings familiaux, je me suis heurté aux évêques (…)”. Le chef de l’État reconnaît que le rejet des contraceptions et du contrôle des naissances par l’Église catholique est fort. Il soutient, toutefois, “je ne négocie pas ce qui n’est pas négociable, quelles que soient les contraintes, culturelles ou religieuses”.

(source: Garry Fabrice Ranaivoson – lexpress.mg)

Ville de Poitiers : Nicole Ramalalanirina, marraine de la flamme olympique

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Nicole Ramalalanirina, l’athlète olympique d’origine malgache, aura l’honneur d’être la marraine de la flamme olympique à Poitiers, en France. Le flambeau olympique fera son passage dans cette ville le 25 mai prochain. Pour Nicole, ce rôle constitue une opportunité de transmettre des messages inspirants aux gens. D’après ce qu’elle a déclaré au micro de France Bleu, la flamme olympique qui passe à Poitiers permet aux gens de rêver. Selon encore sa précision, être nommée marraine n’est pas à la portée de n’importe qui. En tant que marraine, elle souhaite conseiller les jeunes sportifs et partager des démonstrations techniques. Son message pour les sportifs dans sa ville est clair: peu importe le sport, il faut qu’on soit conscient qu’on peut faire du haut niveau aussi. Nicole a participé à quatre éditions des Jeux Olympiques, notamment à Barcelone en 1992, à Atlanta en 1996, à Sydney en 2000 et à Athènes en 2004. « En tant qu’athlète, les Jeux olympiques sont différents des autres compétitions. Déjà pour se qualifier, c’est très très dur. Moi, je ne sais pas ce que c’est de jouer à domicile », a-t-elle avancé. Son meilleur souvenir reste les Jeux de Sydney, où elle a atteint la 6e place en finale du 100 m haies. Elle se souvient de l’immense pression et du silence sur la piste lorsqu’elle a réalisé qu’elle était en finale olympique. Nicole a eu la chance de rencontrer d’autres sportifs au village olympique, dont les célèbres sœurs Williams à Barcelone et le légendaire basketteur Michael Jordan.

(source:  Manjato Razafy – Midi M/kara)

JIRAMA Vonjy Andriamanga et Rivo Radanielina condamnés à 10 ans de travaux forcés

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La fin de la boucle peut-être dans cette grosse affaire de corruption qui a toujours terni l’image de la société d’eau et d’électricité malgache (JIRAMA). L’ancien directeur général, Vonjy Andriamanga, et l’ancien directeur général par intérim, Rivo Radanielina, sont condamnés par la Cour criminelle du pôle anti-corruption d’Antananarivo, à dix ans de travaux forcés chacun. La décision du juge est tombée mardi au terme d’une audience de 48 heures durant laquelle près d’une cinquantaine d’employés et d’anciens responsables de la société d’Etat ont été entendus.

Outre ces deux anciens directeurs, la directrice générale adjointe, Angelsa Zasy, a également été condamnée à une peine de la même intensité. Leur lourde peine est, par ailleurs, assortie d’une amende de 40 millions d’ariary. La justice somme également tous les inculpés à verser des dommages et intérêts d’une valeur de 2,5 milliards d’ariary à leur ancienne société. Leurs comptes bancaires seront également saisis et l’Agence de recouvrement des avoirs illicites (ARAI) a été ordonnée d’agir en ce sens par la Cour.

Les chefs d’inculpation de ces anciens hauts dirigeants de la JIRAMA tournent autour de l’abus de fonction, de détournement de deniers publics et de blanchiment d’argent. L’affaire remonte à 2021 dans le cadre de laquelle les primes exceptionnelles attribuées aux responsables de la société d’Etat ont fait jaser plus d’un, les primes allant de 40 millions à 180 millions d’ariary alors que la JIRAMA croule sous les dettes et souffre de difficultés chroniques depuis des décennies. En 2022, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) s’est saisi de l’affaire et a commencé à mener ses propres enquêtes.

L’affaire a éclaté dans la presse à l’époque où Andry Goly était ministre de l’Energie. Plusieurs directeurs de la compagnie ont été happé dans cette vaste affaire. Un avis de recherche, accompagné d’un avis d’interdiction de sortie du territoire (IST) ont notamment été émis à l’encontre de Vonjy Andriamanga, sa directrice de cabinet et Rivo Radanielina. Mais depuis, ces trois derniers ont disparu du paysage médiatique et sociale malgache. Ils étaient absents lors du procès qui s’est terminé mardi.

Parmi les personnes impliquées et appelées à la barre, certains ont été condamnés à des degrés différents ou pour d’autres responsabilités dans cette affaire, d’autres ont été relaxées. Néanmoins, ces pluies de condamnations annoncent un vent de changement qui pourrait s’opérer au sein de cette société d’Etat qui peine encore à redorer son blason et surtout à assurer une service de qualité.

(source: madagascar-tribune.com)

50è Anniversaire de la BCM – La pièce de 50 ariary en or vendue 12 millions d’ariary

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Les faces des pièces d’or vendues par la Banque centrale.

Les pièces d’or commémoratives de la Banque centrale pourront enfin être commercialisées. Dans ses locaux, la Banque centrale a lancé les ventes de ses pièces de monnaie en or de 50 ariary. Chaque pièce de 1 Oz, soit 31,104 grammes, se vendra à douze millions d’ariary l’unité. C’est ce qui a été expliqué hier.

Chaque citoyen peut se la procurer. La Banque centrale fait savoir qu’il suffit de se munir d’une carte d’identité nationale et de visiter le site internet de la BFM, en renseignant son identité et son adresse mail. C’est à cette adresse mail que seront envoyés par la suite les détails concernant l’achat de ces pièces commémoratives de 50 ariary en or.

Pour célébrer son cinquantième anniversaire, la Banque centrale a prévu d’émettre 5 000 pièces d’or, de 24 carats chacune, avec la pureté la plus haute possible. Ces pièces de monnaie seront disponibles à la vente nationale ou internationale. Ces pièces d’or ont été raffinées en Turquie par l’Istanbul Gold Refinery, la deuxième plus grande raffinerie de métal jaune au monde après la Chine. Sur cette nouvelle pièce d’or sont gravés l’image du soleil avec le Stade Barea. Pour éviter toute forme de thésaurisation de la part de ceux qui en ont les moyens, la BCM limitera la vente à une pièce d’or par carte d’identité nationale, c’est-à-dire par personne.

(source: Itamara Randriamamonjy – lexpress.mg)